The Richmond Forum on Chinese signs on March 12 demonstrated the large gap between what the Richmond public and the Richmond political class want to see happen in Richmond. It also showed the indignity that Richmond citizens and all other Canadians will continue to endure unless federal politicians assert Canadian sovereignty over Canada, dramatically reduce Canada’s immigration intake to serve Canada’s interests, and declare that immigrants adapt to Canada’s two official languages.
Richmond is the proverbial “Canary” in the coal mine. In other words, what has happened in Richmond is a warning. It is the first Canadian city where immigration policy has caused the existing population to become a minority and where the immigrant population has publicly and significantly declared its dominance. This is the very negative result of Ottawa’s immigration intake tsunami and of Ottawa’s refusal to monitor and do anything about it. Most importantly, it is the result of Ottawa’s refusal to abide by the most basic of all national survival instincts : Never allow a country’s existing population to become a minority.
About 100+ people attended the Richmond Forum which was organized and chaired by the Simon Fraser University Centre for Dialogue. It lasted two hours.
Since the Forum was announced a month ago, it has been clear that Richmond City Hall has tried to limit discussion and to control attendance.
From the beginning of the meeting, however, it was also clear that a significant part of the Richmond public is dissatisfied with the thousands of Chinese signs in Richmond and with the bigger issue of high Chinese immigration. It feels Richmond’s political class wants to do as little as possible about the public’s concerns.
The meeting first looked at how Richmond can promote cultural harmony. The Chair asked attendees to identify things that contribute to cultural harmony. Attendees pointed out that such things as communication, a common language, etc. had to be observed. A number stated that these fundamentals had not been observed and that, as a result, a large amount of tension exists.
It also became clear that the City had instructed and pressured its staff and a significant number of others to attend the Forum in order to control the agenda and to control dissension. The Chair soon switched the meeting to several Richmond bureaucrats who spoke about the work they had done on counting Chinese signs, the different locations (interior and exterior), the cluttering on signs, the small number that were Chinese-only, the existing bylaws on signs, the problem with enacting a bylaw, etc.
The Chair then had UBC Geography Professor Dan Hiebert speak about his research. The Chair praised Hiebert, but did not mention that Hiebert is an immigration cheer-leader and, like most academics, seldom if ever questions Canada’s intake but instead focuses on how immigrants fare and adapt. Hiebert described the efforts of three places which were dealing with a similar sign issue : Sydney and Melbourne, Australia; and Richmond Hill, Ontario. Richmond Hill had actually passed a bylaw requiring that English or French comprise half of the lettering on a sign. It was implied that this might be the solution to conflicts in Richmond.
The last of the speakers was Richmond’s Head of Social Planning who has probably played a significant role in suppressing dissent, in tolerating the signs, and in accepting the Richmond public’s descent into minority status.
At the end of two hours, the Chair stated that the comments made at the meeting would all be sent to Richmond Council which would decide what action to take.
Richmond residents were left to think about several things :
(1) Why did residents have to complain about Chinese language signs and have to ask Richmond politicians to tell Chinese businesses to give a prominent place in signs to one of Canada’s official languages? Long ago, shouldn’t Ottawa and every Canadian city, Richmond included, taken the initiative and have very clearly told all of Canada’s new immigrants, that Canada had two official languages, that Chinese was not one of them and that businesses should not be using the Chinese language in their signs? Instead, through the muddled thinking in its multiculturalism policy, Ottawa has implied to these new immigrants that “anything goes” and that Chinese was as acceptable as either English or French.
(2) Why had Ottawa not decreed long ago that it would never allow its existing population in any community to be overwhelmed by immigrants and to become a minority? Why had it never decreed that self-preservation was a fundamental in any society? Why did it not recognize that failure to abide by this fundamental principle would lead to the very significant resentment and racial conflict that now exists? Why does Ottawa not see that if its cowardice in dealing with this issue continues, the result might well be civil war over control of many Canadian cities whether the city is Richmond or any in a long list of other cities?
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Richmond: Le « canarie » dans la mine de charbon de l’immigration Canadienne
Le forum sur l’affichage en Chinois tenu le 12 mars à Richmond a démontré le fossé qui sépare la population des élus à Richmond. Il a aussi démontré le traitement indigne que les citoyens de Richmond ainsi que le reste de la population Canadienne va continuer d’endurer si les politiciens fédéraux n’affirment pas la souveraineté Canadienne sur l’ensemble du territoire Canadien, s’ils ne réduisent pas le nombre d’immigrants reçus afin de servir les intérêts du Canada et qu’ils n’obligent pas les immigrants à apprendre une des 2 langues officiels du pays.
Richmond est l’équivalent du « canarie » dans la mine de charbon. En d’autres mots, ce qui est arrivé à Richmond est un avertissement. Il s’agit de la première ville Canadienne où les politiques d’immigration ont fait en sorte de rendre la population déjà établie en minorité et où la population immigrante a publiquement et significativement affirmé sa domination. Il s’agit des résultats négatifs des politiques d’immigration d’Ottawa qui ont généré un véritable tsunami qu’Ottawa refuse de reconnaître et de solutionner. Le constat le plus important est le refus d’Ottawa d’obéir à l’instinct de survie national le plus élémentaire : Ne jamais permettre que la population existante d’un pays puisse devenir minoritaire.
Plus de 100 personnes étaient présentes lors du forum sur l’affichage de Richmond qui était organiser et présider par le « Simon Fraser University Centre for Dialogue ». Le forum a duré 2 heures.
Depuis l’annonce de la tenue du forum 1 mois auparavant, il est clair que l’hôtel de ville de Richmond a essayée de limiter les discussions et de contrôler les présences.
Cependant, il fut établit d’entré de jeux à la rencontre qu’une partie significative de la population de Richmond est insatisfaite des milliers d’affiches en Chinois à Richmond ainsi que la problématique d’une forte immigration Chinoise. Il semble que la classe politique de Richmond ne veut rien faire pour apaiser les craintes de la population.
La rencontre a débuté en essayant d’établir comment Richmond pouvait promouvoir l’harmonie culturelle. Le président a demandé à l’assemblée d’identifier les choses pouvant contribuer à l’harmonie culturelle. Les gens dans la salle ont signifié plusieurs éléments dont entre autre que la communication et une langue commune devaient prévaloir. Certains ont mentionnés que ces éléments fondamentaux n’étaient pas respectés ayant pour résultat de créer des tensions.
Il est également devenu clair que la ville s’est organisée a envoyé des employés ainsi que d’autres bénévoles pour participer au forum dans le but de noyauté l’assemblé et de contrôler la dissension. Le président de l’assemblé a donné la parole à plusieurs bureaucrates de Richmond qui ont parlé du travail qu’ils ont fait en comptant les panneaux Chinois, des différents lieux (intérieurs et extérieurs), du petit nombre écrit en Chinois seulement, des lois existantes sur la signalisation, de l’application de ces lois.
Le président a ensuite invité le professeur de géographie Dan Hiebert de l’UBC à venir parler de ses recherches. Le président à acclamer Hiebert, mais n’a pas mentionner que Hiebert est reconnu comme étant inconditionnellement favorable en ce qui a trait à l’immigration et, comme la plupart des universitaires, préfère détourner la question lorsqu’on lui parle du nombre d’immigrants au Canada en l’orientant sur l’intégration de celle-ci. Hiebert a décrit 3 endroits aux prises avec des problèmes d’affichage similaires. Sydney ainsi que Melbourne en Australie et Richmond Hill en Ontario. Richmond Hill a passé une loi requérant que l’anglais ou le français devait constituer minimalement la moitié d’une affiche. Il fut mentionné qu’il pourrait possiblement s’agir de la solution à appliquer à Richmond.
Le dernier intervenant était le directeur à la planification sociale de Richmond, celui qui a probablement joué le plus grand rôle pour supprimer la dissension, en tolérant les signes et en acceptant que le population de Richmond devienne une minorité.
Au bout de 2 heures, le président a mentionné que les commentaires émis au forum seraient transmis au conseil de ville de Richmond qui déciderait ensuite des actions à prendre.
Les résidents de Richmond avaient plusieurs interrogations :
(1) Pourquoi les résidents ont-ils eu à se plaindre à propos de la présence de panneaux écrit en Chinois et ont eu à demander aux politiciens de Richmond de dire aux compagnies Chinoises de donner place à l’une des deux langues officielles sur les panneaux? Ottawa et l’ensemble des villes Canadiennes, Richmond incluse, n’auraient-ils pas faire valoir aux nouveaux immigrants que le Canada a 2 langues officiels, que le Chinois n’était pas l’une d’elles. Au lieu de cela, par sa vision embrouillé du multiculturalisme, Ottawa a signifié à ces nouveaux immigrants que tout était acceptable et que le Chinois était tout aussi acceptable que l’anglais et le français.
(2) Pourquoi Ottawa n’a pas décrété il y a plusieurs années qu’elle ne laisserait jamais sa population existante dans les villes être envahit par des immigrants qui rendrait cette population minoritaire? Pourquoi n’a-t-elle jamais été décrétée que l’auto-préservation était fondamentale dans toute société? Pourquoi Ottawa n’a-t-elle pas reconnu que de faire fit de ce principe fondamentale conduirait au ressentiment et aux conflits raciaux que nous vivons actuellement. Pourquoi Ottawa ne peut-elle pas voir que si sa lâcheté à adresser cette problématique continue, le résultant pourrait être une guerre civile pour le contrôle de plusieurs villes Canadiennes, que ça soit Richmond ou tout autre ville ayant cette problématique.