Immigration Reformers Link GTA Traffic Gridlock to Massive Immigration

Immigration Reformers Link GTA Traffic Gridlock to Massive Immigration

PORT CREDIT— A dozen Immigration Watch Canada protesters braved cold winds on the afternoon of Jan. 17  to call for major cuts to immigration in order to combat traffic gridlock in the Greater Toronto Area (GTA). The reformers displayed a banner reading “Fight Gridlock — Cut Immigration” on the pedestrian walkway above the Queen Elizabeth Way inbound to Toronto.

They displayed a second banner with the name of their organization. Heavy traffic slowed down to look at the banners. Many motorists honked or gave the thumbs up sign to show their approval of the protesters’ message. Many vehicle passengers took pictures on their cellphones and tweeted or texted to their friends.

The immigration reformers also distributed leaflets in several nearby parking lots and have vowed further protests. Their organization, Immigration Watch Canada, advocates that a significant immigration cut should be a major issue in the 2015 federal election.

“The objective of this protest was to advise the pubic on a large scale that endless population growth driven by a senseless mass immigration policy is the leading cause of things such as gridlock. Canada has had an unjustified high immigration intake averaging 250,000 per year for the past 24 years. That amounts to a total of 6 million people. Although major infrastructure expenditures such as new highways may provide some temporary relief, such projects will cost taxpayers billions. Endless growth is impossible.”

“In addition to increasing the commuting time of workers, it is turning Southern Ontario and many other parts of Canada into environmental disasters-in-progress. Metro Vancouver is about to vote on spending billions on additional transit when the simplest solution to its gridlock would be to demand that Ottawa end its unnecessary high immigration policy and thus block a 1 million increase in Metro Vancouver’s population. Bringing in an endless supply of people is also causing needless competition for jobs. All of these issues tie into each other.” said Lisa Glatt, the event organizer.

According to the C D. Howe Institute, gridlock costs the Ontario economy between $7 and $11 Billion each year. But that’s just a part of the price Canadians are paying for mass immigration. A study in 2011 by Veteran economists Herbert Grubel and Patrick Grady titled “Immigration and the Canadian Welfare State” found that recent immigrants receive up to $23.6 billion more through government assistance programs than they pay back in taxes each year. Preliminary results of an update of that study show that the cost of immigration has increased substantially in the past three years.

As far back as 1990, The Economic Council of Canada, a group of  Canada’s most eminent economists, did a detailed study of the economic impact of immigration on Canada from Confederation to 1990. They concluded that immigration made no significant contribution to the Canadian economy and that wise governments should not depend on immigration to stimulate their economies.

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For details, see the following :

C D Howe Study : http://www.cbc.ca/news/business/toronto-gridlock-may-cost-economy-up-to-11b-c-d-howe-says-1.1394574

Grubel and Grady Study on Costs of Immigration : http://www.fraserinstitute.org/research-news/display.aspx?id=17546

 
Patrick Grady’s  Essay on Harper Government’s Work on Immigration : http://www.global-economics.ca/immigration_and_welfare_state_2014.htm

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DES MILITANTS EN FAVEUR D’UNE RÉFORME DE L’IMMIGRATION LIENT LES BOUCHONS DE CIRCULATION À TORONTO À L’IMMIGRATION MASSIVE

PORT CREDIT – Une douzaine de manifestants d’Immigration Watch Canada ont bravé le froid ce 17 janvier pour appeler à des réductions majeures à l’immigration afin de combattre les bouchons de circulations qui affligent la ville de Toronto. Les manifestant brandissaient une bannière affichant « Fight Gridlock – Cut Immigration » (Combattons les bouchons, réduisons l’immigration) sur la voie piétonnière au-dessus du Queen Elizabeth Way à Toronto.

Ils ont également brandit une deuxième bannière affichant le nom de leur organisation. Les circulation à ralenti et les automobilistes regardaient les bannières. Plusieurs automobilistes ont klaxonné ou levé le pouce en signe d’approbation au message des manifestants. Plusieurs passagés des véhicules ont photographié la manifestation avec leur téléphones cellulaires et ont retransmis les photos à leurs amis par twitter ou texto.

Les manifestants distribuaient également des pamphlets dans des stationnements avoisinants. Leur organisation, Immigration Watch Canada préconise qu’une réduction l’immigration devrait être un enjeux majeur dans les élections fédérales de 2015.

« L’objectif de ce rassemblement était d’aviser le public que l’augmentation de population entrainée par des politiques d’immigration insensées est la cause des bouchons de circulation. Le Canada a eu une politique injustifiée d’immigration de masse en acceptant en moyenne 250 000 immigrants par année depuis les 24 dernières années. C’est un apport de 6 millions d’individus supplémentaires. Les nouveaux projets d’infrastructures pourront certes aidé mais ces projets couteront aux payeurs de taxes des milliards de dollars. L’expansion infinie est impossible. »

« En plus d’augmenter le temps sur la route pour les travailleurs, ça transforme le sud de l’Ontario et plusieurs autres régions du Canada en désastre environnementale. La région métropolitaine de Vancouver s’apprête à voter des dépenses totalisants des milliards de dollars pour des transits additionnels quand la solution la plus simple et la moins couteuse serait de demandé à Ottawa de cesser sa politique d’immigration massive et stopper l’augmentation de population projeté à 1 million d’individus dans la région métropolitaine. Importer une quantité infinie de personnes entraine également plus de compétition sur le marché de l’emploi. Tous ses problèmes sont liés. » mentionne Lisa Glatt, l’organisatrice de l’événement.

Selon l’institut CD Howe, les bouchons de circulation coutent à l’économie Ontarienne entre 7 et 11 milliards de dollars chaque année. Il s’agit là que d’une fraction du coût que les Canadiens défraient pour l’immigration massive. Une étude de 2011 par les vétérans économistes Herbert Grubel et Patrick Grady intitulée « Immigration and the Canadian Welfare State » démontre que les immigrants récents reçoivent jusqu’à 23.6 milliards de dollars de plus en programmes sociaux que ce qu’ils paient en taxes et impôts. Des résultats préliminaires de la mise à jour de cette étude démontrent que les coûts de l’immigration ont augmentés substantiellement ces trois dernières années.

En 1990, le Conseil économique du Canada (Economic Council of Canada), un groupe des plus éminents économistes du Canada ont fait une étude exhaustive de l’impact économique de l’immigration au Canada de la confédération jusqu’aux années 1990. Ils concluent que l’immigration n’apporte aucun apport significatif à l’économie Canadienne et que les gouvernements ne devraient pas dépendre de l’immigration pour stimuler leurs économies.