Why Toronto and Vancouver Residents Score Lowest On Happiness Survey
Don’t Worry—Be Happy!
By Tim Murray,
April 22, 2015
Item: Statscan reports that Vancouver and Toronto residents are the least happy of Canadians
http://www.statcan.gc.ca/pub/11-626-x/11-626-x2015046-eng.htm
Interesting. According to a recent Statscan report, people in Vancouver and Toronto are less happy than folks in any other Canadian city. How can that be?
Don’t they like the massive and relentless influx of “New Canadians”? Don’t they like “diversity”? Don’t they like higher density, unaffordable housing, traffic congestion, ethnic gangs, crime and job competition from a growing pool of cheap imported labour? Don’t they like being told they must fork out more and more money for improved transit and infrastructure because Vancouver will add another million to its numbers? Don’t they like being told to move over and squeeze tighter to make room for more and more people? Don’t they like listening to city politicians who want to “welcome” migrants and grow the population while promising to make the city the “greenest” in the world at the same time?
The unfortunate truth is that while many Vancouver and Toronto residents are unhappy, they can’t tell you exactly why. Yes, they don’t like unaffordable housing, traffic congestion etc. But apparently they can’t connect it to the federal policy of mass immigration. And anyone who tries to connect the dots for them is buried by media outrage and driven off the stage. Just ask Ontario’s former Environment Commissioner, Gordon Miller.
Meanwhile, after reporting Statscan’s findings, the CBC featured a story about a Harvard academic whose research has demonstrated that with enough effort, we can all “choose” to be happy. All it takes is practice. We can train our brains to be optimistic and positive. Translation: don’t try to change your circumstances, change your attitude! If you work in a sweatshop or a fast food restaurant or at Walmart for the minimum wage, don’t worry—be happy. Be happy with mass immigration. Be happy with your displacement. Be happy with ‘diversity’. Be happy with Euro-Canadian cultural suicide. Don’t worry.
You see, it is all about how you look at it. Instead of being unhappy about the surrender and betrayal of your country or how your community and your neighbourhood has been rendered unrecognizable thanks to policies that were enacted by governments that never had a mandate to do so, you can focus on the positive. As Bing Crosby said, you’ve got to accentuate the positive, eliminate the negative, latch on to the affirmative and don’t mess with Mister-in-Between!
Each day you should endeavour to count your blessings, meditate and be kind to strangers and friends. If you keep doing that, one day you will suddenly wake up and realize that you are happy.
So give it a try, won’t you? Say, “Despite the fact that Chinese millionaires have demolished heritage homes on the West side of town, inflated local real estate beyond the reach of ordinary Canadians and replaced English signs with Chinese-only signs, I’m happy!” . Or, “Despite the fact massive numbers of Muslim immigrants are unwilling to accept our cultural norms or respect our traditions and impose a net fiscal burden on Canadian taxpayers, I’m happy! Then meditate and think about it.
Voila! Suddenly you understand what Vancouver City Council and Mayor Gregor Robertson meant by “Reconciliation”. You are happily reconciled to your own displacement! You are born again! You are at one with the Multicultural universe! You are “welcoming”. You are ready to run to the airport and like a Walmart greeter shout, “Welcome to Canada, Home-to-the-World!” Or, “Welcome to Vancouver, The World-in-a-City”!
You are ready to be kind to strangers, strangers like the ones who came from China to rip down good housing stock, price you out of the local market, and drive your wages down as not-so-temporary foreign workers. Or ready to be kind to vitriolic imams who preach anti-Western hate from the safety of their mosques while their agents and front men wage law-fare against critics or threaten them with a human rights complaint. It is amazing what a little kindness will do.
If people in Vancouver and Toronto are so unhappy, then why don’t they take that advice? Decide to be happy. Decide to change their attitude. As that Harvard academic said, the world is what you perceive it to be. Change your perception and you change the world. Your world.
So tomorrow morning, I am going to do just that. I am going to perceive the world differently . And I am going to start by perceiving my VISA bill and my mortgage debt as being paid off. Poof! Gone! See!
I wonder if the Royal Bank will accept my perception of reality?
And now a word from our Minister of Immigration, Chris Alexander (with apologies to Bob Marley):
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Pourquoi les résidents de Toronto et Vancouver se retrouvent en dernières positions du sondage de l’indice du bonheur?
Tim Murray
Le 22 Avril, 2015
Une étude de Statistique Canada dévoile que les résidents de Vancouver et Tonronto sont les moins heureux parmi la population Canadienne.
http://www.statcan.gc.ca/pub/11-626-x/11-626-x2015046-fra.htm
Intéressant. Une étude démontre de Statisique Canada démontre que les habitants de de Vancouver et Toronto sont moins heureux que leurs concitoyens dans les autres villes Canadiennes. Comment cela est-il possible?
Après tout, n’apprécient-ils pas l’afflux incessant de « Néo Canadiens »? N’apprécient-ils pas la « diversité »? N’apprécient-ils pas la densification de la population, le marché immobilier inaccessible, la congestion automobile, les gangs ethniques, la criminalité et la compétition sur le marché de l’emploi provenant d’un bassin d’une main d’œuvre à bas coût importée d’outre-mer? N’apprécient-ils pas de d’avoir à être taxé d’avantage pour construire de nouvelles infrastructures pour que Vancouver réalise son objectif d’accueillir plus d’un million de nouveaux résidents? N’apprécient-ils pas de s’entasser et de faire plus de place pour de plus en plus de gens? N’apprécient-ils pas les beaux discours des politiciens municipaux qui veulent « accueillir » les immigrants et faire augmenter le niveau de population tout en promettant de rendre leur ville la plus écoresponsable au monde?
Le plus désolant dans tout ça est que les résidents de Vancouver et Toronto sont malheureux mais ils ne peuvent dire exactement pourquoi. Bien sûr, on peut dire qu’ils n’apprécient pas les prix des maisons surévalués et la congestion automobile mais ils ne peuvent faire le lien entre leurs problèmes et la politique fédérale d’immigration massive. Et quiconque fait cette corrélation est appelé à subir l’ire des médias et à devoir se taire. C’est ce qui est arrivé à Gordon Miller, le commissaire à l’environnement de l’Ontario.
Suite à la diffusion des résultats de l’étude de Statistique Canada, la CBC a diffusé un reportage sur les recherches d’un académicien de Harvard démontrant qu’en s’efforçant, nous pouvions tous « choisir » d’être heureux. Tout ce que ça prend c’est de la pratique. Nous pouvons entrainer notre cerveau afin nous rendre optimiste et positif. On peut traduire cette intervention comme étant un moyen de dire « ne changez pas les circonstances, changez votre attitude »! Que vous soyez employé d’usine ou de chaine de restauration rapide ou de Walmart au salaire minimum, ne vous en faites pas et soyez heureux. Soyeux heureux dans la « diversité ». Soyez heureux du suicide culturel des Canadiens de souche. Ne vous en faites pas.
Tout est dans la façon de voir les choses. Au lieu d’être malheureux à l’effet que votre pays ait été trahi par vos élites et que votre communauté et votre voisinage sont rendus méconnaissables grâce aux politiques votés par des gouvernements qui n’ont jamais eu comme mandat pour procéder à de telles transformations, vous devriez vous pratiquez à y voir du positif. Comme disait Bing Crosby, vous devez accentuer le positif, éliminer le négatif, être affirmatif et ne jamais laisser place à l’ambiguïté.
Vous devriez donc à chaque jour vous faire le devoir d’apprécier votre chance et d’être généreux envers tous, proches comme étrangers. Si vous faites cela régulièrement, vous vous réveillerez un jour en vous rendant compte que vous êtes heureux.
Faites-en l’essai et vous verrez. Répétez la phrase suivante : « En dépit du fait que des millionnaires Chinois ont démoli des quartiers historiques de l’ouest de la ville de Vancouver, ont fait gonfler les prix du marché immobilier poussant l’accès à la propriété hors de porter pour les Canadiens ordinaires et remplacer les panneaux d’affichage Anglais par des affiches écrites en Chinois seulement, je me sens heureux! ». Vous pourriez également répéter cette phrase : « En dépit du nombre imposant d’immigrants Musulmans qui n’acceptent pas nos normes culturelles, qui n’ont aucun respect pour nos traditions et qui imposent une charge imposante sur nos finances publiques et sur les payeurs de taxes Canadiens, je me sens heureux! ». Répétez ces phrases et méditez.
Voilà! Vous venez soudainement de ce que le Gregor Robertson, maire de Vancouver, et son conseil de ville ont voulu dire lorsqu’ils parlaient de « réconciliation ». Vous vous êtes réconcilié dans le bonheur avec votre propre remplacement! Vous êtes réincarné, un être nouveau! Vous êtes au diapason de l’univers multiculturel! Vous êtes « accueillant ». Vous êtes prêt à vous rendre à l’aéroport et vous êtes prêt à crier, tel un préposer à l’accueil de Walmart : « Bienvenu au Canada, maison du monde entier » ou « bienvenu à Vancouver, le monde dans une seule ville »!
Vous êtes prêt à vous ouvrir aux étrangers, comme ceux qui sont venus de Chine pour s’approprier le marché immobilier et qui ont rendu le marché local hors de votre portée et qui ont fait diminuer votre salaire sous l’égide du programme des travailleurs étrangers « temporaires ». Vous êtes également prêt à vous ouvrir à l’arrivée d’imams radicaux prêchant la haine de l’occident en toute tranquillité dans leurs mosquées, pendant que leurs brebis et agents menacent de poursuivre en justice ou devant les tribunaux des droits de la personne tous ceux qui osent les critiquer. C’est étonnant ce que l’ouverture à l’autre engendre.
Si les residents de Vancouver et Toronto sont si malheureux, pourquoi ne suivent-ils pas ces conseils? Décider d’être heureux. Décider de changer d’attitude. Comme l’académicien d’Harvard le mentionnait, le monde est ce que vous percevez qu’il est. Changer votre perception et vous changerez le monde, votre monde.
Dès demain, c’est ce que je compte faire. Je vais percevoir le monde différemment. Je vais commencer par percevoir mon compte de carte de crédit et ma dette hypothécaire comme étant remboursées.
Je me demande si la banque va accepter ma perception de la réalité?